INFOS TMS
Notre objectif est de vous aider à améliorer votre gestion de la santé au travail et de lutter contre les TMS pour réduire le taux d’absentéisme au sein de votre entreprise, améliorer la profitabilité de votre activité, accroître le bien-être de vos collaborateurs et mettre en place des solutions durables.
Vous avez dit TMS ?
Consultez la brochure de l'INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) pour comprendre l'enjeu et l'intérêt des entreprises de lutter contre les Troubles Musculo-Squelettiques (TMS).
Au sommaire : Les TMS, c'est quoi ? Quelles conséquences pour l'entreprises et pour les salariés ? Comment en arrive-t-on là ? Que pouvez-vous faire ? Des pistes de prévention pour agir...
Au sommaire : Les TMS, c'est quoi ? Quelles conséquences pour l'entreprises et pour les salariés ? Comment en arrive-t-on là ? Que pouvez-vous faire ? Des pistes de prévention pour agir...
Des réalisations concrètes ?
Découvrez ce document de l'Assurance Maladie qui regroupe des exemples concrets d'actions menées dans des entreprises. Ces actions ont permis d'observer des résultats concluants et de résoudre de nombreux problèmes de santé et de performances.
Chaque fiche présente le contexte, les acteurs impliqués, la démarche menée et bien sûr, les résultats observés.
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Les TMS en détail
Informez vous en détail sur les TMS grâce à la Fiche Repère de l'ARIS (Association Régionale pour l'Insertion Sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap).
Fonctionnement des muscles, chiffres clés, différentes causes des TMS… Après cette lecture, vous en saurez vraiment plus !
Fonctionnement des muscles, chiffres clés, différentes causes des TMS… Après cette lecture, vous en saurez vraiment plus !
L'approche TomYan dans la lutte contre les TMS
« T.M.S. » - Est-ce un Terme Marketing de Santé ou réellement une Traumatologie Médicale Spécifique ? Derrière cette simplification que sont les T.M.S se cachent une réalité complexe et de nombreuses pathologies.
Cet article apporte un éclairage complet sur la façon dont les équipes TomYan comprennent et luttent contre les TMS au quotidien à la fois en cabinet de kinésithérapie et en entreprise.
Cet article apporte un éclairage complet sur la façon dont les équipes TomYan comprennent et luttent contre les TMS au quotidien à la fois en cabinet de kinésithérapie et en entreprise.
La vision TMS de TomYan
1. Notre approche des Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S)
A) Notre définition
« T.M.S. » - Est-ce un Terme Marketing de Santé ou réellement une Traumatologie Médicale Spécifique?
Derrière cette simplification que sont les T.M.S se cachent une réalité complexe et de nombreuses pathologies. Le terme « trouble » est une définition trop vague à notre goût pour expliquer les traumatismes liés au travail. Il est aussi utilisé en médecine : trouble de la déglutition, troubles visuels, etc. Mais à chaque fois il définit un symptôme et non une altération, encore moins une pathologie. Alors pourquoi ne pas avoir utilisé : Symptômes Musculo-Squelettiques ? La concurrence marketing avec les SMS peut-être ?
Les Canadiens parlent plutôt de L.A.T.R, et le terme est plus intéressant : Lésions Articulaires dues au Travail Répétitif. Toutefois cette définition pathologique reste incomplète, puisque elle ne parle que des altérations articulaires. Le T.M.S est également une invention incomplète puisqu'il ne parle que des lésions du muscle et des os. Pour ces mêmes douleurs physiques, on parle aussi d'affections péri-articulaires ou encore de pathologies d'hyper-sollicitation. Ces différentes terminologies montrent que nous avons en face de nous, une réalité très complexe et donc difficile à définir et à regrouper sous un seul et même nom.
Or les T.M.S à eux seuls représenteraient près de 80 % des maladies professionnelles en France. Quelle différence entre une Maladie Professionnelle (M.P.) et un T.M.S ?
Contrairement aux M.P., les T.M.S se traduisent toujours par un même signe : la douleur. Et selon nous, toutes les M.P. qui touchent le squelette (muscles – tendons – ligaments – articulations - régions anatomiques) sont des T.M.S. En revanche, tous les T.M.S. ne sont pas des M.P.
Par exemple, une cervicalgie est un T.M.S., mais pas une M.P.
Nous considérons qu’un T.M.S. ne constitue pas une maladie déterminée, mais plutôt un syndrome pouvant évoluer vers une M.P. comme le canal carpien, ou la tendinite de la coiffe des rotateurs.
Ainsi, l’intérêt dans le traitement des T.M.S. est la possibilité d’intervenir avant qu’ils se transforment en M.P., ou en maladie tout court. Il s’agît de faire de la prévention et donc d’être plus efficaces sur les conséquences économiques de ces maladies pour l’entreprise et la société, tout en améliorant les conditions de travail du salarié en préservant son capital santé.
B) Les facteurs de risque
Les facteurs biomécaniques : ce sont les facteurs liés aux sollicitations spécifiques du travail (par exemple les gestes répétitifs, une mauvaise posture, etc.).
Les facteurs psycho-sociaux : le manque de reconnaissance sociale de son travail, une mauvaise estime de soi, etc.
Les facteurs individuels : une mauvaise hygiène de vie, un manque de pratique régulière de sport, l'âge, le sexe, etc.
C) L’arbre des causes des T.M.S.
L'ingénierie de production et globalement l’organisation du travail
La cadence de travail
Le rythme du travail (les « trois huit », le travail nocturne, etc.)
La conception des équipements et des outils (l’ergonomie du poste)
L'environnement physique (travail extérieur, sur site de fabrication, au chaud, au froid, etc.)
L'ambiance de travail
La gestuelle
La qualification à l'embauche
Une analyse combinée des facteurs de risque et des causes des T.M.S. montre déjà que la solution sera nécessairement une solution pluridisciplinaire, capable d’amener de la méthode dans l’organisation du travail tout en redonnant au facteur humain sa valeur centrale.
Si, pour ce qui concerne l’organisation du travail, les ingénieurs méthodes, qualité, sécurité, en hygiène ou ergonomie et environnement trouvent naturellement leur place parmi les « préventeurs » des T.M.S., d’autres figures professionnelles semblent incontournables pour affronter le problème dans sa globalité. Une question s’impose : Qui ?
2. Quelle est la profession la plus spécialisée dans les T.M.S. ?
Une fois le diagnostic du T.M.S. posé par le médecin traitant ou du travail, ce dernier prescrit au patient des séances de kinésithérapie en complétant éventuellement la thérapie par des médicaments pour soulager la crise de douleur.
Que vous souffriez d’un lumbago ou d’une tendinite, vous finirez, et c’est une évidence, chez un kinésithérapeute. C’était traditionnellement la seule profession reconnue en France pour traiter les T.M.S. ; aujourd’hui on trouve aussi une nouvelle profession qui traite le problème: c’est l’ostéopathie.
Par conséquent, les kinésithérapeutes-ostéopathes sont aux T.MS. ce que les pompiers sont aux incendies : ils conseillent, préviennent et assurent le curatif en cas d’accident.
Et pour autant le kinésithérapeute-ostéopathe n’est pas encore présent dans le monde de l’entreprise. Aujourd’hui encore, quand on parle de T.M.S. beaucoup pensent d’abord à la profession d’ergonome.
Depuis plus de vingt ans l'ergonomie en tant que science a été la seule réponse à ce problème. Or, l’augmentation permanente des T.M.S. démontre les limites de cette démarche. Pourquoi ?
Pour répondre il faut revenir à la définition de l’ergonomie, qui est l’adaptation du travail à l’homme à travers des solutions techniques sur l’aménagement des postes, des outils, de l’environnement. Jamais elle ne semble prendre en considération l’individu en tant que tel, et se restreint souvent à des composantes biomécaniques, en simplifiant les problèmes par la modélisation d’une articulation.
Déterminer un secteur angulaire de faible contrainte pour une épaule ou un poignet est une évidence nécessaire. Mais qui ne nous paraît pas suffisante, en effet, il est bien plus complet et compliqué de mesurer et de prendre en considération d’autres dimensions : la pénibilité du travail, l’estime de soi, l’effritement du capital santé des travailleurs, les compétences individuelles pour prévenir et guérir les T.M.S. (échauffement – pause active – étirement – posture).
Que ce soit dans un cabinet ou aux Jeux Olympiques, cette prise en charge globale est un cœur de métier. L’expertise de l’anatomie, de la biomécanique, la connaissance du traitement et de la prévention des T.M.S. font de la kinésithérapie-ostéopathie une référence en matière de T.M.S.
C’est là que se crée la différence de l’expertise d’un kinésithérapeute-ostéopathe compétent. Il considère le patient dans sa globalité d’individu, ce qui est le point de départ de toutes les thérapies efficaces.
3. Est-ce que l’on retrouve ce terme de T.M.S. dans un autre domaine que le « travail » ?
Il n’y pas seulement au travail que l’on souffre et que l’on se blesse. Il y a d'autres pratiques physiques où l'on retrouve aussi des affections péri-articulaires, des pathologies d'hyper-sollicitation dues à des gestes répétitifs, même si, curieusement, on ne les appelle pas T.M.S.
L’une de ces activités est évidemment le sport, particulièrement dans sa pratique à haut niveau.
Les T.M.S. sont à l’entreprise ce que les technopathies sont au sport : la principale cause de baisse de performance.
Dans le sport de haut niveau, le kinésithérapeute-ostéopathe bénéficie de très bonnes conditions et peut résoudre des problèmes en 15 jours quand il a besoin de plusieurs mois dans son activité libérale au quotidien. Mais son action n’est pas que thérapeutique, il collabore avec le staff afin d’apporter des solutions sur les problèmes techniques, notamment par l’analyse vidéo et la discussion.
Il tient son efficacité par la connaissance du sport, du système et du sportif. Souvent le sportif de haut niveau a besoin d’être rassuré, d’être écouté, surtout en période de stress ou d’arrêt maladie. Même un champion du monde peut se blesser, et dans ce cas aussi la solution est la pluridisciplinarité. Il faut travailler de concert avec le préparateur physique, l’entraineur, le médecin. Le point le plus important est de centrer son traitement non pas sur une région, un muscle ou une articulation, mais sur un homme qui pratique son sport à haut niveau, qui prépare des échéances au sein d’une équipe.
L’action du kinésithérapeute-ostéopathe du sport ne se cantonne pas au traitement, elle prend toute son importance dans la prévention, dans la préparation à l’effort et dans la récupération. Le kinésithérapeute-ostéopathe réalise l’échauffement, les étirements, les rééquilibrations, le massage. En cas de technopathie, son apport est incontournable au niveau psychologique ou empathique : il rassure le sportif, il l’encourage.
C’est un véritable expert dans le chemin de la performance du sportif de haut niveau : on ne peut pas concevoir une équipe Olympique ou une équipe de football de première division sans son kinésithérapeute-ostéopathe.
Les consultants-formateurs de TomYan Consulting travaillent entre autres avec l'équipe de France d'aviron depuis 15 ans. La forte valeur ajoutée de notre organisme de formation est de savoir modéliser et adapter ces expériences du sport de haut niveau au monde du travail. Dans le sport aussi, nous utilisons ces termes d'entreprise : la performance, l'absentéisme, la qualité de prestation, etc. ..
Nous avons régulièrement démontré que ce qui est vrai pour le sport l’est pour l’entreprise : la prévention, la sensibilisation au capital santé, l’enseignement anatomique, l’échauffement, les étirements, sont les mesures les plus efficaces pour l’amélioration des performances et le bien-être en entreprise.
Conclusion
De par cette vision différente de la problématique, cette lecture originale de ces douleurs, TomYan Consulting est capable d'apporter une solution globale en matière de lutte contre les T.M.S.
Nous pouvons, grâce à notre expérience du sport de haut-niveau, notre savoir-faire dans la rééducation, notre expertise du système de production via nos ingénieurs, améliorer le bien-être au travail de vos collaborateurs et donc la productivité de votre entreprise.
Notre association kinésithérapeute-ostéopathe, ingénieurs et sportifs de haut niveau est une réponse unique qui a fait ces preuves dans le sport et qui aujourd'hui s’intègre parfaitement dans la démarche de performance durable des entreprises.
Article rédigé par l'équipe TomYan Consulting en mars 2010
1. Notre approche des Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S)
A) Notre définition
« T.M.S. » - Est-ce un Terme Marketing de Santé ou réellement une Traumatologie Médicale Spécifique?
Derrière cette simplification que sont les T.M.S se cachent une réalité complexe et de nombreuses pathologies. Le terme « trouble » est une définition trop vague à notre goût pour expliquer les traumatismes liés au travail. Il est aussi utilisé en médecine : trouble de la déglutition, troubles visuels, etc. Mais à chaque fois il définit un symptôme et non une altération, encore moins une pathologie. Alors pourquoi ne pas avoir utilisé : Symptômes Musculo-Squelettiques ? La concurrence marketing avec les SMS peut-être ?
Les Canadiens parlent plutôt de L.A.T.R, et le terme est plus intéressant : Lésions Articulaires dues au Travail Répétitif. Toutefois cette définition pathologique reste incomplète, puisque elle ne parle que des altérations articulaires. Le T.M.S est également une invention incomplète puisqu'il ne parle que des lésions du muscle et des os. Pour ces mêmes douleurs physiques, on parle aussi d'affections péri-articulaires ou encore de pathologies d'hyper-sollicitation. Ces différentes terminologies montrent que nous avons en face de nous, une réalité très complexe et donc difficile à définir et à regrouper sous un seul et même nom.
Or les T.M.S à eux seuls représenteraient près de 80 % des maladies professionnelles en France. Quelle différence entre une Maladie Professionnelle (M.P.) et un T.M.S ?
Contrairement aux M.P., les T.M.S se traduisent toujours par un même signe : la douleur. Et selon nous, toutes les M.P. qui touchent le squelette (muscles – tendons – ligaments – articulations - régions anatomiques) sont des T.M.S. En revanche, tous les T.M.S. ne sont pas des M.P.
Par exemple, une cervicalgie est un T.M.S., mais pas une M.P.
Nous considérons qu’un T.M.S. ne constitue pas une maladie déterminée, mais plutôt un syndrome pouvant évoluer vers une M.P. comme le canal carpien, ou la tendinite de la coiffe des rotateurs.
Ainsi, l’intérêt dans le traitement des T.M.S. est la possibilité d’intervenir avant qu’ils se transforment en M.P., ou en maladie tout court. Il s’agît de faire de la prévention et donc d’être plus efficaces sur les conséquences économiques de ces maladies pour l’entreprise et la société, tout en améliorant les conditions de travail du salarié en préservant son capital santé.
B) Les facteurs de risque
Les facteurs biomécaniques : ce sont les facteurs liés aux sollicitations spécifiques du travail (par exemple les gestes répétitifs, une mauvaise posture, etc.).
Les facteurs psycho-sociaux : le manque de reconnaissance sociale de son travail, une mauvaise estime de soi, etc.
Les facteurs individuels : une mauvaise hygiène de vie, un manque de pratique régulière de sport, l'âge, le sexe, etc.
C) L’arbre des causes des T.M.S.
L'ingénierie de production et globalement l’organisation du travail
La cadence de travail
Le rythme du travail (les « trois huit », le travail nocturne, etc.)
La conception des équipements et des outils (l’ergonomie du poste)
L'environnement physique (travail extérieur, sur site de fabrication, au chaud, au froid, etc.)
L'ambiance de travail
La gestuelle
La qualification à l'embauche
Une analyse combinée des facteurs de risque et des causes des T.M.S. montre déjà que la solution sera nécessairement une solution pluridisciplinaire, capable d’amener de la méthode dans l’organisation du travail tout en redonnant au facteur humain sa valeur centrale.
Si, pour ce qui concerne l’organisation du travail, les ingénieurs méthodes, qualité, sécurité, en hygiène ou ergonomie et environnement trouvent naturellement leur place parmi les « préventeurs » des T.M.S., d’autres figures professionnelles semblent incontournables pour affronter le problème dans sa globalité. Une question s’impose : Qui ?
2. Quelle est la profession la plus spécialisée dans les T.M.S. ?
Une fois le diagnostic du T.M.S. posé par le médecin traitant ou du travail, ce dernier prescrit au patient des séances de kinésithérapie en complétant éventuellement la thérapie par des médicaments pour soulager la crise de douleur.
Que vous souffriez d’un lumbago ou d’une tendinite, vous finirez, et c’est une évidence, chez un kinésithérapeute. C’était traditionnellement la seule profession reconnue en France pour traiter les T.M.S. ; aujourd’hui on trouve aussi une nouvelle profession qui traite le problème: c’est l’ostéopathie.
Par conséquent, les kinésithérapeutes-ostéopathes sont aux T.MS. ce que les pompiers sont aux incendies : ils conseillent, préviennent et assurent le curatif en cas d’accident.
Et pour autant le kinésithérapeute-ostéopathe n’est pas encore présent dans le monde de l’entreprise. Aujourd’hui encore, quand on parle de T.M.S. beaucoup pensent d’abord à la profession d’ergonome.
Depuis plus de vingt ans l'ergonomie en tant que science a été la seule réponse à ce problème. Or, l’augmentation permanente des T.M.S. démontre les limites de cette démarche. Pourquoi ?
Pour répondre il faut revenir à la définition de l’ergonomie, qui est l’adaptation du travail à l’homme à travers des solutions techniques sur l’aménagement des postes, des outils, de l’environnement. Jamais elle ne semble prendre en considération l’individu en tant que tel, et se restreint souvent à des composantes biomécaniques, en simplifiant les problèmes par la modélisation d’une articulation.
Déterminer un secteur angulaire de faible contrainte pour une épaule ou un poignet est une évidence nécessaire. Mais qui ne nous paraît pas suffisante, en effet, il est bien plus complet et compliqué de mesurer et de prendre en considération d’autres dimensions : la pénibilité du travail, l’estime de soi, l’effritement du capital santé des travailleurs, les compétences individuelles pour prévenir et guérir les T.M.S. (échauffement – pause active – étirement – posture).
Que ce soit dans un cabinet ou aux Jeux Olympiques, cette prise en charge globale est un cœur de métier. L’expertise de l’anatomie, de la biomécanique, la connaissance du traitement et de la prévention des T.M.S. font de la kinésithérapie-ostéopathie une référence en matière de T.M.S.
C’est là que se crée la différence de l’expertise d’un kinésithérapeute-ostéopathe compétent. Il considère le patient dans sa globalité d’individu, ce qui est le point de départ de toutes les thérapies efficaces.
3. Est-ce que l’on retrouve ce terme de T.M.S. dans un autre domaine que le « travail » ?
Il n’y pas seulement au travail que l’on souffre et que l’on se blesse. Il y a d'autres pratiques physiques où l'on retrouve aussi des affections péri-articulaires, des pathologies d'hyper-sollicitation dues à des gestes répétitifs, même si, curieusement, on ne les appelle pas T.M.S.
L’une de ces activités est évidemment le sport, particulièrement dans sa pratique à haut niveau.
Les T.M.S. sont à l’entreprise ce que les technopathies sont au sport : la principale cause de baisse de performance.
Dans le sport de haut niveau, le kinésithérapeute-ostéopathe bénéficie de très bonnes conditions et peut résoudre des problèmes en 15 jours quand il a besoin de plusieurs mois dans son activité libérale au quotidien. Mais son action n’est pas que thérapeutique, il collabore avec le staff afin d’apporter des solutions sur les problèmes techniques, notamment par l’analyse vidéo et la discussion.
Il tient son efficacité par la connaissance du sport, du système et du sportif. Souvent le sportif de haut niveau a besoin d’être rassuré, d’être écouté, surtout en période de stress ou d’arrêt maladie. Même un champion du monde peut se blesser, et dans ce cas aussi la solution est la pluridisciplinarité. Il faut travailler de concert avec le préparateur physique, l’entraineur, le médecin. Le point le plus important est de centrer son traitement non pas sur une région, un muscle ou une articulation, mais sur un homme qui pratique son sport à haut niveau, qui prépare des échéances au sein d’une équipe.
L’action du kinésithérapeute-ostéopathe du sport ne se cantonne pas au traitement, elle prend toute son importance dans la prévention, dans la préparation à l’effort et dans la récupération. Le kinésithérapeute-ostéopathe réalise l’échauffement, les étirements, les rééquilibrations, le massage. En cas de technopathie, son apport est incontournable au niveau psychologique ou empathique : il rassure le sportif, il l’encourage.
C’est un véritable expert dans le chemin de la performance du sportif de haut niveau : on ne peut pas concevoir une équipe Olympique ou une équipe de football de première division sans son kinésithérapeute-ostéopathe.
Les consultants-formateurs de TomYan Consulting travaillent entre autres avec l'équipe de France d'aviron depuis 15 ans. La forte valeur ajoutée de notre organisme de formation est de savoir modéliser et adapter ces expériences du sport de haut niveau au monde du travail. Dans le sport aussi, nous utilisons ces termes d'entreprise : la performance, l'absentéisme, la qualité de prestation, etc. ..
Nous avons régulièrement démontré que ce qui est vrai pour le sport l’est pour l’entreprise : la prévention, la sensibilisation au capital santé, l’enseignement anatomique, l’échauffement, les étirements, sont les mesures les plus efficaces pour l’amélioration des performances et le bien-être en entreprise.
Conclusion
De par cette vision différente de la problématique, cette lecture originale de ces douleurs, TomYan Consulting est capable d'apporter une solution globale en matière de lutte contre les T.M.S.
Nous pouvons, grâce à notre expérience du sport de haut-niveau, notre savoir-faire dans la rééducation, notre expertise du système de production via nos ingénieurs, améliorer le bien-être au travail de vos collaborateurs et donc la productivité de votre entreprise.
Notre association kinésithérapeute-ostéopathe, ingénieurs et sportifs de haut niveau est une réponse unique qui a fait ces preuves dans le sport et qui aujourd'hui s’intègre parfaitement dans la démarche de performance durable des entreprises.
Article rédigé par l'équipe TomYan Consulting en mars 2010
En savoir plus ?
Publications INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) : www.inrs.fr
• Mal au dos. Osez bouger pour vous soigner, ED 6040
• Les lombalgies : les comprendre, les prévenir, ED 6057
• Les troubles musculo-squelettiques du membre supérieur, coll. « Le point des connaissances sur », ED 5031
• Passer commande d’une prestation ergonomique dans le cadre d’une action de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS), ED 860
• Analyser le travail pour maîtriser le risque TMS, ED 865
• Travail et lombalgie. Du facteur de risque au facteur de soin, ED 6087
• Les troubles musculo-squelettiques du membre supérieur (TMS-MS). Guide pour les préventeurs, ED 957
• Et s’il y avait du stress dans votre entreprise ? ED 973
• Mal au dos. Osez bouger pour vous soigner, ED 6040
• Les lombalgies : les comprendre, les prévenir, ED 6057
• Les troubles musculo-squelettiques du membre supérieur, coll. « Le point des connaissances sur », ED 5031
• Passer commande d’une prestation ergonomique dans le cadre d’une action de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS), ED 860
• Analyser le travail pour maîtriser le risque TMS, ED 865
• Travail et lombalgie. Du facteur de risque au facteur de soin, ED 6087
• Les troubles musculo-squelettiques du membre supérieur (TMS-MS). Guide pour les préventeurs, ED 957
• Et s’il y avait du stress dans votre entreprise ? ED 973
Autres sources
• Travailler mieux. Site du Ministère duTravail, de l’Emploi et de la Santé : www.travailler-mieux.gouv.fr
• Travailler mieux. Site du Ministère duTravail, de l’Emploi et de la Santé : www.travailler-mieux.gouv.fr
Ils nous font déjà confiance :
SARL AU CAPITAL DE 7 500 EUROS - R.C.S. DE LYON - N°SIRET : 444 754 329 00019 • ORGANISME DE FORMATION CONTINUE 82.69.07795.69